jeudi 11 octobre 2012

En marge du mendiant, de victor Hugo

1ère mise en ligne 10/02/2011 8:00
J'avais mis ce poème en ligne pour le Jeudi en poésie des CROQUEURS DE MOTS   sous la houlette d'une quinzaine de Anne Lesonneur.
Il me semble que l'un des plus grands progrès de l'humanité, peut-être l'un des rares, a été la maîtrise du feu, pour sa protection contre son environnement et pour l'amélioration d'un confort certainement fort sommaire dans ces temps lointains.
Aussi je le remets volontiers en ligne pour Lilou-Fredotte, dont le deuxième mot pour les jeudis en poésie du défi n°87 est le mot FEU.
D'autres usages du feu sont ludiques, d'autres encore plus ou moins dévastateurs. Ce qu'aurait pu illustrer un poème que j'avais écrit et que j'ai réédité cet été pour miletune : Jeux de la vie ...

Nouvelle mise en ligne le jeudi 20 décembre 2012 à lire ou à relire ICI

Je n'ai plus guère de poèmes de mon anthologie d'adolescente à vous montrer. L'essentiel, je vous les ai déjà présentés.
Celui-ci est un poème que j'ai redécouvert en feuilletant tout simplement mon Lagarde et Michard du XIXème siècle, fatigué de tant d'usage, à la recherche de quelque texte allant avec les consignes d'Anne, d'abord le repas, puis le partage.
 Et pourtant celui-ci, comme tant d'autres textes, n'a pas été soumis à notre dissection d'élèves besogneux et ignorants de l'âpreté de la vie. Je l'ai lu certes, car j'ai plus tard lu presque l'entier des Contemplations, sans m'y arrêter.
Ces derniers jours, je l'ai lu plusieurs fois, hésitant à le choisir sous le signe du partage. Pas de place ici pour le commenter. Et le temps me manque pour mettre en ligne tout ce que j'ai déjà dans mes brouillons ...
En attendant, un détour vers un de mes billets anciens Solidarité ou charité business, vous aurez un petit aperçu de mes réflexions et de mon vécu. Le fils est était de nouveau depuis un an hébergé en pointillés avec toutes les difficultés dues à ses errances et à sa fragilité et à la mienne. Il a depuis deux chiens et non plus un seul et cet été. Ils se sont même multipliés ...