bon voilà, mes actes manqués de programmation me décident à publier cette impertinence que j'évoque en introduction de la mise en ligne de La nuit d'octobre, de Musset.
et c'est toujours pour le défi n°126 des CROQUEURS DE MOTS
Le cœur plein de fiel,
ta muse t'a déserté,
fuyant tant de haine.
La chaise du poète est vide ;
Sèchent la plume et l'encrier.
Qu'attendais-tu homme fier ?
Femme libre te libère.
Jeanne Fadosi, vendredi 27 juin 2014
impertinence empruntée au tanka sur les états d'âme d'Alfred de Musset dont George Sand ne supportait plus les caprices, les exigences et (si le mot n'existait pas le comportement si) le machisme.
La séparation est définitive en mars 1835.
Salutaire, Musset y puise l'inspiration de quatre longs poèmes parmi ses plus renommés : d'abord La nuit de mai, puis La nuit de décembre, puis La nuit d'août et enfin, La nuit d'octobre.