C'est toujours plus difficile pour moi de m'amuser avec les mots à partir d'un prénom qui ne m'est pas inconnu.
Et même quand il m'est inconnu, j'ai une pensée pour celles ou ceux qui le portent et, même ceux qui me semblent les plus rares sont portés.
Alors Béatrice, pensez ! Un prénom qui, sans connaître certains engouements plus ou moins éphémères, a connu pendant longtemps un succès renouvelé d'année en année, plus particulièrement dans les années 1960 - 1970 où il a été en 1960 le 17e prénom le plus donné.
J'en ai connu des Béatrice, copines de classe ou de colonie de vacances, collègues, élèves, mères de ... filles de ...
J'en connais toujours. Certaines y reconnaîtront mon clin d’œil à la Reine de la nuit de La Flûte enchantée de Mozart, dans ce tableau de Mucha, Ciel de nuit
Si je pense à celle de Dante, c'est surtout à un roman de Amin Maalouf que je serais tentée de faire référence.
Le premier siècle après Béatrice, paru en 1992, je ne l'ai lu qu'après sa parution en livre de poche en 1996.A le relire aujourd'hui, avec l'éclairage de l'histoire récente de l'humanité, il m'apparait tellement visionnaire !
en lire une présentation plus détaillée ICI, en rectifiant sa date de parution qui est bien 1992.
Avec un salut amical spécial à Bigornette ,
Présidente d'honneur de La cour de récré de JB